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        • Jean-Pierre Seck

          Issu de l’univers de la musique et « activiste hip-hop » reconnu, Jean-Pierre Seck a naturellement évolué de la production de disques à l’expression artistique audiovisuelle. Convaincu que la production de disques a changé, il considère qu’il est primordial d’intégrer et de développer la dimension visuelle. C’est l’ambition de son label, Allmade : proposer différents programmes mêlant musique et image. En 2009, il produit pour Canal+ Slam Info, où s’élabore son concept de « Cinérap », qui désigne la rencontre des textes de rap et de l’écriture fictionnelle.

          Né en 1973, Jean-Pierre Seck fait ses premières armes dans l’industrie du disque en 1995, comme journaliste au sein du magazine L’Affiche dont Olivier Cachin est le rédacteur en chef. Il y développe une rubrique consacrée aux talents de la nouvelle scène du rap français : Diam’s, Kery James, Rohff, Oxmo Puccino, ou encore Kery James. Parallèlement à ses activités de pigiste à L’Affiche, dont il devient rédacteur en chef adjoint en 1998, il co-anime le talk-show Sang d’encre sur la radio Générations 88.2 FM avec David Commeillas et Yasmina Benbekaï et écrit pour le magazine Radikal.

          En 1999, il signe sa première production avec la mix-tape Sang d’encre qui s’écoule à plus de 25 000 exemplaires.

          En 2000, il se tourne définitivement vers la production et monte le label indépendant 45 Scientific, avec un site Internet comme principal vecteur de communication du label, qui se verra classé comme un des sites musicaux de référence. Le succès est immédiat avec plus de 150 000 copies vendues (certifié disque d’or) de Mauvais Œil, premier album du groupe Lunatic. L’idée de rééditer cet album avec un DVD inédit présentant les dessous de la tournée est à l’origine de son succès pharamineux… et du disque d’or. Il signe d’ailleurs un second disque d’or en 2001 avec plus de 200 000 albums écoulés de l’opus Temps Mort de Booba.

          Jean-Pierre Seck quitte le label 45 Scientific en 2006 et crée Allmade Records, avec le site allmade.tv, qui intègre une web radio et une web TV. L’image et la musique sont plus que jamais au rendez-vous. Quand arrive le phénomène de la Tecktonik, toutes les maisons de disques y vont de leur compilation. Jean-Pierre Seck se démarque en éditant un DVD de cours de danse Tecktonik intitulé Electro-Style. Après une bataille idéelle avec son distributeur, qui ne croit pas au succès commercial de ce projet, il le convainc de cette phrase : « Les gens ne veulent pas écouter la musique mais apprendre à danser en regardant les images. » Unique en son genre, ce DVD sera couronné d’un DVD d’or (plus de 60 000 exemplaires vendus).

          En 2008, il produit l’artiste Black Kent dont le développement de carrière, notamment sur les réseaux sociaux, séduit Warner, qui signe l’artiste en 2011.

          Producteur de musique passionné, Jean-Pierre Seck a toujours mis un point d’honneur à soigner les clips du label, dont il écrivait les synopsis, et travaillait en étroite collaboration avec les réalisateurs. Il lui semble aujourd’hui naturel de se tourner vers la production audiovisuelle. Aussi, lorsqu’il propose le concept de Pucc Fictions à l’artiste Oxmo Puccino, il ne s’agit pas d’une reconversion, mais plutôt d’une continuité dans son approche différente de la production, qui tend à rapprocher l’audio (la musique) et le visuel (l’image).

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        • @David Commeillas

          DOPEBOY DMG

          Crédit photo : @David Commeillas

          Dopeboy DMG est un homme de verbes et de paradoxes.

           

          Dès le premier regard posé sur l’artiste sénégalais, force est de constater qu’il porte la marque des grands. Incontestablement prolixe dans sa musique, il est néanmoins aussi avare de mots que réservé en interview. Il ne saurait expliquer ses œuvres, il les vit, les ressent. À l’image d’un peintre écorché vif ou d’un poète maudit face à ses lecteurs, le jeune artiste laisse à son public et ses fans le soin d’établir leurs propres interprétations de ses œuvres, aussi singulières qu’elles puissent être.

           

          Dopeboy DMG est un artiste à part, souvent incompris. Il semble en décalage avec son environnement, voire avec son époque, et cela, depuis le début de sa carrière. Il découvre en effet le rap à 12 ans à travers les œuvres de 50 Cent et de G-Unit. De cette découverte, naît une fascination chez lui, qui deviendra par la suite une évidence. Il se met alors au rap à 17 ans, convaincu d’être fait pour cette musique.

           

          Les artistes à leurs débuts suivent habituellement deux types de trajectoire : pour certains, le temps et l’expérimentation leur permettent de trouver leur style ; pour d’autres, c’est immédiat. Dopeboy DMG appartient à cette seconde catégorie, consciente de ses forces. Rares sont ceux dotés comme lui d’un sens unique de la mélodie et d’un timbre de voix très distinctif : Dopeboy DMG maîtrise le rap aussi bien que le chant. Ses qualités d’écriture et son sens de la punchline aiguisée en font ainsi un artiste hors norme.

           

          Des qualités qui n’ont pas laissé le célèbre Dip Doundou Guiss indifférent, auprès duquel il est introduit par l’intermédiaire d’un ami à l’âge de 20 ans. C’est ainsi qu’il intègre le collectif Reptyl Music, qui comprend la crème du rap sénégalais : Dip Doundou Guiss, Samba Peuzzi, Dizzy Kha, BM Jay, et Kaynizii, son ami d’enfance.

           

          Un an après son arrivée, le projet « 221 », qui présente le collectif au grand complet, voit le jour. Dopeboy se distingue à travers les titres « No Way », dans lequel il délivre un couplet exclusivement en anglais, et « Weet », aux côtés de Dip Doundou Guiss, BM Jay, Samba Pezzi et Kaynizii.

           

          Dopeboy fait le buzz.

           

          Cette ascension fulgurante marque également pour lui le début d’une traversée du désert, qui durera 9 mois. Dopeboy s’éclipse du monde et passe tout son temps en studio pour apprendre à faire ses propres productions musicales et s’adonner intensément au chant. Néanmoins, la crise financière qu’il connaît alors le pousse à se remettre profondément en question.

           

          Dopeboy vit pour la musique, il ne pourrait en être autrement. Malgré les doutes qui l’assaillent, il se ressaisit et sort son premier clip solo, « LVL ». Puis, il enchaine avec le morceau « Ask the Moon », qui annonce le projet « Night on the moon ». Il remonte alors la pente doucement et devient régulier dans ses sorties. Il sort ainsi à la suite, le morceau « Flex » et les EP « Roots To Road 1 », puis « Roots To Road 2 ».

           

          Dopeboy se fait alors repérer par le célèbre producteur français d’origine sénégalaise Jean-Pierre Seck, deux Disques d’Or et un DVD d’Or à son actif et notamment à l’origine du succès de 45 Scientific et Booba. Le producteur est séduit par les talents de Dopeboy en rap, chant et mélodie, par sa maîtrise du français, de l’anglais et du wolof dans ses textes, et par ses florilèges de punchlines.

           

          Dopeboy signe sur le label Allmade et sort dans la foulée le clip « Dakar Drill » ainsi que l’EP éponyme. Avec ce projet, Dopeboy renoue avec le buzz et se positionne à ce jour comme le leader de la drill.

           

          DISCOGRAPHIE :

          Pyramide (mixtape) 2015

          221 (album reptyle music) 2017

          LVL (single) 2018

          Nights on the moon (mixtape) 2018

          Flex (single) 2019

          Namel (single) 2019

          Hypocrite (single) 2019

          Road to roots 1 (EP) 2020

          Road to roots 2 (EP) 2020

          Dakar Drill (EP) 2020

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        • @David Commeillas

          LUDAFRICK

          Crédit photo : Young Fresh

          Auteur, compositeur et interprète de talent, Ludafrick, de son vrai nom Ollanghas Christ, est né et à grandit à Brazzaville. Il débute sa carrière en 2004, d’abord dans le rap, puis dans le « coupé décalé », en rejoignant le groupe congolais MP en 2006.

           

          Rapidement, l’artiste lance sa carrière solo. Très prolifique, Ludafrick se met à écrire, chanter et composer lui-même ses productions. En 2011, il monte un label et un studio d'enregistrement : Gravity Entrainment. Il y signe le groupe de rap Sixième Bataillon, avant d’être invité à les rejoindre comme membre à part entière. Lors de la création de leur premier titre, « T’es qui toi », Ludafrick imprègne ses beats de Trap avant même qu’elle ne déferle sur le rap actuel. Le morceau cartonne et fait connaître le groupe au Congo, qui enchaîne alors plusieurs scènes de concert.

           

          Au sein du label, Ludafrick fait alors enregistrer 12 rappeurs sur le morceau « Clic sur j'aime », qui le fait retourner sur scène grâce à son succès. En 2013, il collabore avec le Rappeur Teddy Benzo sur le titre « Flow like is Berg », qui élargit son public en local et auprès de la diaspora.

           

          CONGO BRAZZAVILLE

           

          2014

          Il quitte le groupe Sixième Bataillon pour revenir à une carrière solo. La même année, il sort deux morceaux forts, devenus deux classiques du rap congolais : « La barile » et « Baiser D Judas ».

           

          2015

          Officiellement reconnu dans le pays, l’artiste est invité à composer toute la musique des 11eme Jeux Africains, notamment les prestigieuses cérémonies d'ouverture et de clôture.

          La musique de cette cérémonie des jeux africains de Brazzaville était traditionnellement réalisé par des compositeurs occidentaux. Le ministre de la culture de l’époque souhaitait rompre avec cette habitude.

          Il s’agit donc d’un véritablement événement quand Ludafrick est sélectionné comme le premier compositeur local, afin de réaliser une musique puisant dans la profonde culture traditionnelle du Congo Brazzaville.

          Il relève le défi et le résultat est à la hauteur avec une composition basée sur la percussion conga, tam-tam, cowbell et la guitare rumba. Ce mélange de musique tradi-moderne congolaise a été un grand succès au Congo.

           

          2017

          Ludafrick revient en force avec deux tubes : "Diabolos", en collaboration avec la chanteuse Mbilia Bel, et "Forgive Me" dans un style complètement différent, l'afro-dancehall.

          Ludafrick : « Mbilia est une légende de la rumba congolaise mais son producteur avait besoin de rajeunir son public et cela passait par une musique plus actuelle.

          J’ai proposé un positionnement afrobeat-beat, tout en gardant la couleur de la guitare rumba, qui fait l’identité musicale congolaise. C’est devenu par la suite une de mes recettes pour faire des hits !

          J'ai donc composé et écris pour elle. Par la suite elle m’a proposé de mettre ma voix. Le titre a très bien marché et m’a permis de prendre la route de la tournée avec elle. »

           

          Concernant le titre « Forgive Me », son approche fût tout autre «J’ai opté pour un style complètement différent : l'afro-dancehall. Je n'ai pas voulu faire comme tout le monde. L’afro-beat était à la mode et j’ai pensé à me démarquer. J’ai proposé à mon public, un dancehall afro-love, avec des sonorités purement africaines et de la guitare-rumba, qui fait m’a spécificité.» explique Ludafrick.

           

          2018

          Il sort son nouveau titre chez KD music : « Marry U », une collaboration avec la chanteuse Ndea. « Elle réside en France et n’étais pas connue au Congo. Elle a entendu parler de moi, et m’a sollicité pour un featuring. Je lui ai proposé un voyage musicale, à travers de l'afro-pop melangé avec de la percussion très congolaise et de la guitare mute, qui fait toute la magie pour accompagner mon refrain.».

           

          La même année, il produit le beat du titre « The week-end » de Fally Ipupa feat Kaysha : « Une musique fraiche qui fait revenir kaysha sur le devant de la scène, un beat afro très dansant avec des influences pop et rumba. Une nappe qui permet aux chanteur d'aller au-delà de ses limites.»

           

          Il produit aussi le titre « Quinguinguin » du chanteur Bouro Mpela, ancien membre du célèbre groupe Quartier latin de Koffi Olomidé. « La maison de production de Bouro m’a consulté pour redonner vie à sa musique. J’ai proposé un mélange de Ndombolo avec de la pop afro. Le son est devenu un gros hit en Afrique Central qui a permis à l'artiste de tourner en Europe et aux États-Unis. J'essaie souvent de créer des mélanges qui semblent impossible sur le papier mais le résultat est souvent magique.»

           

          2019

          « Ce fût une année de succès pour moi. Avec mon titre « Rouler Rouler ». Un mélange de rumba congolaise dans les accords, une batterie tradi-moderne de chez nous, une vibe de chanteur urbain qui donne un hit validé par des grands de la scène international : Booba et koffi Olomidé, notamment ».

           

          CÔTE D’IVOIRE

          Fin 2019

          «Je quitte Brazzaville pour m’installer à Abidjan afin de m'enrichir musicalement. J’ai rapidement été sollicité pour travailler dans le label-studio "TRACK AND SOUND". C’est label ivoirien important qui produit essentiellement pour la scène locale. J’y tenais un rôle de directeur artistique et j'apportais ma touche de rumba congolaise dans la musique.

          C'est ainsi que j’ai pû collaborer avec la crème des artistes ivoirien comme : Auguy (guitariste des Magic System), Bebi Philip, Serge Beynaud, Molare, Isis et d'autres. Cette expérience m'a permis d'enrichir énormément ma musique. »

           

          SENEGAL

          2020

          il collabore avec Koffi Olomide à Kinshasa sur son album « Legend », dont le single « B'ados » est déjà à plus de 1 million de vues.

          Jean-Pierre Seck, producteur franco-sénégalais à succès, remarque le talent de l’artiste et le signe chez Allmade, son label basé en France et à Dakar.

          Ludafrick s’installe à Dakar et réalise et signe plus de la moitié des titres, du très attendu premier album de Samba Peuzzi « Sénégal Boy ».

          L’ouverture artistique qu’il a apporté à cet album est salué par la critique et commercialement c’est un énorme succès avec plus de 10 millions de streams sur les plateformes et des millions de vues sur les clips.

           

          Il réalise « Play Plait » de l’artiste Sifoor auquel il apporte la touche naija du Nigéria.

          Encore un succès avec plus de 700 000 streams pour cet artiste indépendant, 2 000 000 de vues sur YouTube et en rotation sur Trace.

           

          Séduit par le talent de l’artiste sénégalais Dopeboy DMG, il lui propose une musique spéciale : de la drill avec une couleur rumba qui donne le titre « Dakar Drill ».

          Ce titre a été salué par des artistes de renom de la scène française et une nouvelle fois salué et reposté par Booba.

           

          2021

          Le secret des hits de Ludafrick réside dans sa maîtrise de la rumba qui apporte le groove qui fait danser la planète, comme l’ont compris les artistes tendances tels que Gims, Dadju, Naza, Damso, Niska, etc….tous d’origine congolaise qui utilise ce même secret.

          C’est ainsi qu’il a été sacré meilleur beatmaker 2020 du Congo.

           

          Nous préparons actuellement son premier album en tant que chanteur avec des titres très ouverts et dansant. Les titres tels que « Même Chose », « Pour Les Gosses » ou encore « Vida Loca » sont des hymnes à la vie et s’adressent notamment à un public féminin.

           

           

           

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        • DRIVER

          Crédit photo : Young Fresh

          Driver est originaire de Sarcelles, ville connue dans le rap français grâce au groupe Ministère A.M.E.R, Kenzy et le Secteur Ä, qui auront une influence importante sur le jeune rappeur.

          On comprend mieux ainsi comment ce Sarcellite débonnaire à la taille XXL, arrive ce grand écart difficile entre le rap commercial et celui plus underground à l’image des nombreux featuring qui essaiment son parcours atypique :

          Kery James, Lunatic (Ali & Booba), Rohff, Mister You, Diam’s, Boyz II Men, Dogg Soso, Sophie Favier, Manu Dibango, Julia Channel, Dolly Golden, Sage Poête Dela Rue (Zoxea, Dany Dan, Melopheelo), Method Man, X-Men (Ill, Hi-Fi & Cassidy), Vibe

          Driver est authentique et c’est de façon tout à fait légitime, qu’il compose des titres généralement pleins d'humour et de décontraction, loin des clichés violents et misérabilistes usuellement exploités dans le rap français.

          IL accède à la notoriété en 1998, avec sa chanson "Aie Aie Aie (le Petit Doigt En L'air)", issue de l'album "Le grand schelem" (Polygram). On retrouve Vanessa Demouy en invitée surprise dans le clip !

          « Pardonne-moi (crotte de nez) » est un autre titre fort de la carrière de Driver que l’on retrouve sur la compilation 24 carats.

          Il sort l’album « Swing Popotin » en 2002, puis l’aventure major s’arrête.

          Il démarre une nouvelle aventure de label indépendant en collaborant avec Jean-pierre et en développant le label Allmade.

          Driver troc sa casquette de rappeur pour celle de producteur et découvre l’artiste Black Kent. Il l’invite sur son projet Self Défense, dans lequel on retrouve les grands noms du rap français (Diam’s, Lino (du groupe Ärsenik), Seth Gueko, Stomy Bugzy, Akhenaton, Escobar Macson, Lalcko, etc….).

          Il produit le premier projet de Black Kent « Le Scalpel Volume 1 » dont est extrait le titre « Il m’a dit » et poursuit avec le « Black Carter III » (reprise de l’album de Lil Wayne) et un opus en anglais « Yes I Kent ». Allmade produit les clips de «Pass That» featuring Bishop Lamont (du label Aftermath de Dr Dre avec Eminem et 50 Cent) et « Spit crack music » featuring Cory Gunz (du label de Lil Wayne avec Drake et Nicki Minaj).

          Le contrat est revendu à Warner en 2011.

          Driver est un véritable activiste du Hip-Hop, on le retrouve jury régulier des battles a cappella Rap Contenders (on y retrouve les valeurs montantes du rap français : L’Entourage, 1995, sneazzy west Ladea, Jazzy Bazz, Deen Burbigo, Lunik, Blackapar). « Le conducteur » prend ensuite la route des studio de Goom Radio et anime avec sa partenaire Anne Brodier l’émission « A table » et les « 50 heures de Goom Radio ».

          « Le conducteur » n’est pas du genre « Go Fast » mais prend tranquillement les routes de campagne dans son Low Rider pour collaborer avec les artistes de la nouvelle génération comme Dogg Soso, Artik, Gaïden, Radikal MC

          Il décide tout de même de prendre l’autoroute du cinéma, grâce à son apparition dans le film de Philippe Lefebvre « Une nuit », avec Roschdy Zem, Sara Forestier et Samuel Le Bihan.

          Il prend aussi le périphérique de la publicité avec une récente publicité pour Samsung.

           

          Discographie :

          Le Grand Shelem

          Swing Popotin

          Self Défense

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